scruter à travers l'épaisseur qui nous sépare des choses ...et... les apercevoir ... les choses . brume de souvenir(s) d'histoire(s) d'obscurité de territoires de peur(s) de joie(s) infinies de peine(s) d'objets, connus entassés empilés oubliés oubliés...
D'après une vidéo réalisée par Prune Kantor (copyright 2005) Isaac Newton trouva (sous un arbre) les lois de la gravitation. Force par laquelle les corps s'attirent... en raison directe de leur masse, en raison inverse du carré de leur distance... centre...
Elle est plutôt sympathique la cocc's.... gràce à elle je vois des pois des pois poipoipoi poipoipoi poipoipoi poipoipoi poipoipoi poipoipoi promis, demain je la libère d'après des photos de Frédo Pompéani, fête de la musique (199?) ....................
Sur un air de valse (remixé) : La beauté se cache toujours là où on ne l'attend pas Dans le creux d'une ride ou un plis un peu gras Un geste maladroit, une larme timide La simple envie de vivre qui éclaire des yeux sombres La beauté se cache toujours...
Cet hiver j'ai réalisé une série d'images que je n'avais pas l'intention de montrer sur ce blog, mais une force supérieure m'y pousse aujourd'hui. L'idée de cette série m'est venue suite à un parcours qui m'a amenée à m'intéresser aux pierres, à leurs...
Je découvre les lieux avec vous... (pour ceux qui ont bien voulu se glisser dans mon cartable) atmosphère baignée dans la lumière du vitrail bleu et rouge... Il faut monter... jusqu'au 3ème étage... au bout du couloir, à droite, une porte noire : salle...
vivons survivons survivants survie vie sûre photo n° 1 : Train "habillé" par un artiste anonyme. Déc 2005 (S D-93) photo n° 2 : Oeuvre anonyme, réalisée au collège P N, (P.......... 93) entre 1999 et 2006 photo n° 3 : sur la porte... anonyme... 2006 (P.............
lever du soleil dans notre nuit lovée, la marée recouvre ton corps lavande, écumant notre rêve... je me penche à nouveau, ...engloutie... par l'espoir de t'apercevoir Je me vois en toi et tu révèles à travers moi ...miroir... ...ainsi s'achève le voyage,ainsi...
Mon oeil est resté quelques temps captivé par ces ombres insaisissables, mon oeil voulait regarder en face cette beauté figée effrayante Sans pour autantparvenir à l'apprivoiser ... traces uséesde vies trépassées traces à l'abandonen décrépitudeface à...
"sans qu'elle soit encore réapparue" (suite) la nuit dernière mon radar se mit à bipper sonner gueuler r u g i r h u r l e r a r g h h h !!! tout ce qu'il pouvait 2h30 ... aussitôt sur pieds je constatai avec horreur qu'ils étaient là, empestant la plage...
jeu de piste ? je ne croyais pas si bien dire métamorphosé en jeu de patience ... pister tracer filer poursuivre creuser scruter des jours durant ... pour finalement ne trouver que très peu de traces d'Elle qui semblait vivre d' Amour et d'eau fraîche...
...juste avant... juste avantle bruit et la fureur, l'agitation, les cris, avant les papiers jonchant le solet ma voix s'erraillant,avant la paix envahie,juste avant le jourcette tranche de chaosjuste avant ...Juste av...juste...Just...ju... j... Un silence...
durant cette attente interminable (suite) sous le soleil sur le sable dans l'eau. je devenais dingue. j'étais dans tous mes états . car il me fallait vous ramenercoûte que coûte la fin de l'histoirepromise ...ce foutu radar n'arrêtait pas de se manifester......
texte pour accompagner Prières précieuses Des prières en mauvaises prose, moroses Comme des rivières d'eau de rose, c'est peu de chose La rosée fraîche c'était à l'aube Mais l'aube c'est déjà hier Alors... je t'adresse Les prières précieuses Moi qui ne...
tentant d'apprivoiser l'espace qui m'absorbait (suite) l'astre lunaire tatouait ma peau d'éclairs . je me sentais à peine protégée par l'épaisseur des murs l'épaisseur des murs (p.Kantor / 4 pistes / 1999) l'épaisseur des murs parfois nous isole comme...
... je m'approchai de cette fenêtre ... (suite) oblomov (p.Kantor, 2004) le drapé de taffetas mauve pesait lourd ... ma main lentement le fit grincer, glisser, glousser, le long de la tringle métallique ... je devinai alors, à travers les grains de poussière...
L'ironie du sort a voulu que cet "après-cauchemar" annoncé dans mon dernier article se soit transformé pour moi en véritable drame : mon père adoré nous a brutalement quittés le 12 juillet. Parmi toutes les belles images que je garde de lui, il me reste...
lllllllllllllll lllllllllllllll lllllllllllllll lllllllllllllll lllllllllllllll lllllllllllllll lllll se lllll llaisser l lglisserl l le long l llll des llll llllllllllllllllll llll rayons llll lllllllllllllllXll lllXllllllllllllllllll llllllllllllXlllllllllllll...
"C'est alors que je crus comprendre ce qu'elle était" (suite) médusée je regardais s'éloigner son radeau-radar pétaradant ... un sillage de fumée couleur de feu senteur de soufre courait sur l'océan : signature crachée à la face du monde ... au petit...
quoi de plus ordinaire en ces eaux portuaires ? (suite) derrière le carreau d'algues vertes j'apperçus à mon tour l'énorme architecture flottante qui s'engouffrait dans la lunette ... oups !!! sans aucun doute c'était bien Elle que j'apercevais avec toute...
tout cela était-il une hallu ? (suite) cette "vieille prune" à l'eau de vie m'avait quelque peu tourné vrillé vissé la tête ... il me fallait maintenant redescendre du phare aux couleurs de luciole - " bonsoir monsieur ! " lançai-je timidement en m'éloignant...
c'était elle, vous la reconnaissez ? (suite) Elle avait retrouvé sa tête et à mesure que le soir tombait . noir . mon discernement se mettait à... trembloter à... s'esquiver à... s'évaporer à... ...flotter, et je la perdais à nouveau de vue dans le hâlo...
Cat-Eye voit et nous indique cette somptueuse terre enneigée de marbre blanc : Carrara ...puis... il pourra enfin se poser un peu ...et buller... dans la salle des Cinq-Cents du Palazzo Vecchio ... Firenze ... sous les somptueux plafonds à caissons réalisés...
traversons doucement cette nuit afin de repartir (suite) lueurs pâles de la nuit en projection sur la mollesse des murs ... murmurs ... je décidai de poser un pied sur le sol incertain "les guêpes" p.kantor, 2004 . ... émerger du rêve retrouver mon chemin...
à vous d'en décider (suite) puisque vous en avez ainsi décidé, continuons notre descente dans les profondeurs .... les marches n'en finissaient pas de soulever mes pieds fatigués et la tête me tournait au gré de ce satané escalier ... trou noir durée...