14 juin 2006
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Sur un air de valse (remixé) :
La beauté se cache toujours là où on ne l'attend pas
Dans le creux d'une ride ou un plis un peu gras
Un geste maladroit, une larme timide
La simple envie de vivre qui éclaire des yeux sombres
La beauté se cache toujours là où on ne l'attend pas
Un corps tellement fragile qu'il ressemble à une ombre
Un autre, beaucoup trop lourd mais douillet comme un nid
Une fois qu'on est blotti, c'est doux comme le velours
La beauté se cache toujours là où on ne l'attend pas
Entre deux lèvres trop minces pour qu'on les dise pulpeuses
Mais qui murmurent si bien combien elles sont heureuses
La beauté se glisse même où on ne la voit pas....
Dans le creux d'une ride ou un plis un peu gras
Un geste maladroit, une larme timide
La simple envie de vivre qui éclaire des yeux sombres
La beauté se cache toujours là où on ne l'attend pas
Un corps tellement fragile qu'il ressemble à une ombre
Un autre, beaucoup trop lourd mais douillet comme un nid
Une fois qu'on est blotti, c'est doux comme le velours
La beauté se cache toujours là où on ne l'attend pas
Entre deux lèvres trop minces pour qu'on les dise pulpeuses
Mais qui murmurent si bien combien elles sont heureuses
La beauté se glisse même où on ne la voit pas....



Il n'est pas d'autres yeux que les yeux de l'amour
Pour voir la vraie beauté celle qui fleurit de jour en jour
Ta beauté à toi, toi tu dis qu'tu la vois pas
Ta beauté à toi, elle n'est rien que pour moi...
Prune Kantor

photo prise par Serge, "La Divette de Montmartre" (1998)
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